Message de l’archange Gabriel à Marie pour lui annoncer qu’elle à été choisie par Dieu pour être la mère de son Fils Jésus
L’avant les 4 semaines avant Noël.
En latin advenus qui signifie l’avenue du Christ. Une période d’attente.
Nous y trouverons des coutumes qui vient du paganisme qui ont été christianisé, mais aussi de nos ancêtres qui ont communément réalisé pour ce préparer en lien avec le cycle de la nature afin de réaliser cette magmatique fête religieuse où Dieu ce fait homme.
Coutumes et tradition
Elles contribuent d’abord a créer une ambiance favorable aux festivités. Que portes ces valeurs chrétiennes ? Ces valeurs véhicule des approches des mystères chrétiens.
Le mystère de Noël
Jésus ce prénom signifie Dieu sauve. Il ce nomme aussi l’Emmanuel qui signifie Dieu avec nous.
Ce prénom de Jésus est demandé par l’archange Gabriel lor de l’annonciation à Marie, tu l’appelleras Jésus, l’archange Gabriel annonce avec ce prénom le cheminement la mission du salut pour l’humanité, et une proximité avec Dieu.
L’avant commencement fin novembre ou début décembre
Le temps de l’Avent commence le quatrième dimanche avant Noël et dure jusqu’au 24 décembre. Pour calculer le début de l’Avent, il suffit de compter quatre dimanches en remontant à partir du jour de Noël (le 25 décembre)
Ce moment de l’avent c’est faire route avec Jésus suivre la voie du Christ.
Dans ce temps il a le commencement d’une liturgie, et la couleur est le violet.
Ce temps de l’avent c’est d’être comme un veilleur a attendre accueillir le Seigneur, nous y recevons un enseignement déjà dans l’ancien testament, 600 ans avant Jésus-Christ :
Isaïe 7 : 14
[14] C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, Et elle lui donnera le nom d’Emmanuel.
Ce n’est pas extraordinaire !
Aussi Jean-Baptiste qui ferme la porte de l’Ancien Testament et ouvre le nouveau en mettant en lumière la venue de Jésus Christ.
Et bien sûr Marie la femme de la méditation de l’acceptation qui ce met en disponibilité au Seigneur, Luc 1 : 38
[38] Marie dit : Je suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon ta parole ! Et lange la quitta.
Le sens de la responsabilité de la vie, le protecteur de la Sainte famille c’est Joseph, nous le prions pour qu’il intercède auprès de Jésus pour la protection de notre famille il est aussi le protecteur des travailleurs.
Dans cette période de l’avent tous est mis en œuvre pour être dans une joie du cœur, l’attente de ce Seigneur qui vient par amour.
Nous sommes appelées à être un veilleur pour son proche, ce débarrasser de l’inutile.
Les biscuits : qui exprime le partage l’accueil.
Les chants : c’est prier deux fois, comme la douce nuit qui a été composé par un prêtre Joseph Mohr en 1818 env.
Les contes, les cartes de Noël, tout ça est fait pour éveillez les cœurs. Les illumination, comme la bougie, les guirlandes si importante dans cette période, c’est le symbole du soleil, le Christ est le soleil du monde qui va venir dans la nuit la plus profonde, la nuit qui nous entoure mais aussi nos ténèbres cet a dire nos angoisses, de notre esclavage, ces rayons lumineux vont réchauffer notre cœur la terre et notre vie, il n’y a pas d’éclosion sans le soleil, le jour ou le soleil manifeste sa victoire sur les ténèbres, c’est ce jour-là que les chrétiens ont choisi pour fêter la naissance de leurs soleil Christ lumière des nations.
Le sapin : il évoque la vie, il ne perd pas ses épis et reste vert.
Le père Noël n’a pas vraiment d’importance…
Le saint Nicolas de Myre en + 343 le 06 janvier patron des enfants a offert dans la discrétion il a tout consacré au Seigneur dans l’humilité et la charité.
La crèche : c’est l’évènement de Bethléem qui veut dire “la maison du pain” en hébreu.
La naissance de Jésus ce produit dans une étable ou il y a la nourriture pour les animaux, et pour les catholiques il y a le point de départ, la crèche et l’hôtel ont été associé, aussi la nourriture, autrement dit, si le Christ dit qu’il est nourriture comment ne pas faire le lien symbolique pour ce dire comme le chrétien est né dans une mangeoire et bien sur l’hôtel de célébration dans l’église il se donne à nous comme nourriture
En 1223 Saint François d’Assise inventa la première crèche vivante dans les églises et avec les années ces crèches ont gagné nos intérieurs.
La buche de Noël : représente la fécondité de Noël. Autrefois il y avait coutume a la fin de Noël de récupérer les cendres des bûches qui avaient brûlée dans les cheminées et les fourneaux comme il y avaient dans les intérieurs de l’époque. Le 02 février les cendres était répandue dans les champs comme engrais garantissant la fécondité des semailles du printemps
Les cadeaux sont une expression d’amitié d’une fraternité, faire un cadeau cest connaître l’autre et de le rejoindre. Le plus beau cadeau c’est le cadeau que Dieu nous fait à travers l’enfant Emmanuel, la présence de Dieu.
La couronne de l’avent
Comporte quatre bougies sur un fond de branche de sapin qui représente la vie, et Dieu est la vie. Un voyage à travers les 4 dimanches de l’Avent.
Chaque bougie de la couronne de l’Avent représente un des quatre dimanches qui précèdent Noël. Ces quatre dimanches, nous invitent à un voyage spirituel, à une réflexion profonde sur la venue du Christ.
Le premier dimanche de l’Avent est celui de l’attente. La première bougie, souvent de couleur violette, symbolise l’espoir, la patience et la foi. C’est le moment de se préparer intérieurement à la venue du Christ, de se laisser envahir par l’attente de sa naissance.
Le deuxième dimanche de l’Avent est marqué par l’espérance. La deuxième bougie, souvent de couleur violette également, représente la promesse de Dieu, la promesse d’un monde meilleur, d’un monde où l’amour et la paix règnent.
Le troisième dimanche de l’Avent est celui de la joie. La troisième bougie, souvent de couleur rose, symbolise la joie de l’annonce de la naissance du Christ. C’est le moment de partager cette joie avec les autres, de se réjouir de la venue de la lumière dans le monde.
Le quatrième dimanche de l’Avent est celui de la paix. La quatrième bougie, souvent de douleur violette, symbolise la paix intérieure et la paix dans le monde. C’est le moment de se préparer à accueillir le Christ en son cœur, de lui ouvrir les portes de son âme.
La signification profonde des 4 bougies.
Au-delà de la simple symbolique des quatre dimanches, les quatre bougies de l’Avent représentent également les quatre grandes étapes de l’histoire du salut.
La première bougie symbolise le pardon que Dieu donne à Adam et Ève dès leur péché. Elle représente la miséricorde divine, la promesse d’une nouvelle vie.
La deuxième bougie incarne la foi d’Abraham, le père des croyants, qui a cru en la promesse de Dieu et a accepté de tout quitter pour suivre son appel. Elle représente la confiance absolue en Dieu, la foi inébranlable.
La troisième bougie célèbre la joie de David, roi d’Israël, qui a chanté la louange de Dieu et a exprimé sa joie d’être son serviteur. Elle représente la joie de la rencontre avec Dieu, la joie d’être aimé par lui.
La quatrième bougie symbolise l’enseignement des Prophètes, annonçant un règne de paix et de justice, le Royaume de Dieu qu’instaurera Jésus. Elle représente l’espérance d’un monde meilleur, d’un monde où le bien triomphera du mal.
L’allumage de la bougie du Christ. La veille de Noël ou le jour de Noël, une cinquième bougie, généralement blanche, est allumée au centre de la couronne. Cette bougie, appelée « bougie du Christ », représente la lumière du monde, Jésus-Christ.
L’allumage de la bougie du Christ marque la fin de l’Avent et le début de Noël. C’est le moment de célébrer la naissance du Christ, de se réjouir de son arrivée dans le monde
Tous ce si et l’alliance entre Dieu et les hommes le magnifique symbolise qui le matérialise c’est l’arc-en-ciel
Noël est la fête de la paix
Temps de Nöel
Est-ce que Noël est une fête païenne ?
L’église fondée par des apôtres, l’église apostolique Saint-Paul dit bien garder bien les traditions que vous avez reçu de nous soit par écrit soit par oral. Le soltis d’hiver c’est le moment où les jours vont recommencer à grandir.
Il n’y a absolument pas décris pour connaître la date de la naissance de Jésus Christ alors dans l’Église du Christ au départ les orthodoxes et les catholiques étaient unifiées vers le 3e 4e siècle ont essayé d’honorer la naissance de Jésus c’était de le fêter une fois de plus parce qu’il l’aimait, à cette époque l’Évangile était en train de se répondre des évêques des missionnaires allaient partout pour prêcher il y avait deux façons de prêcher par les armes faire la guerre obliger l’autre à croire alors qu’à cette époque il y avait des païens et l’autre manière l’église et sa pastorale sa sagesse a toujours privilégier c’était d’évangéliser en transformant les lieux ou des païens adoraient leur dieu en lieu Saint pour le culte du Christ alors Noël où nous savons que le Christ et la lumière ils ont choisi cette période du solstice d’hiver ou le soleil va revenir c’est un symbole très fort en revanche dans l’évangile de Saint-Luc il dit il arrivait dans une étable et couchèrent l’enfant dans une crèche parce qu’il n’y avait pas de place dans l’hôtellerie Saint-François d’Assise au 13e siècle se dit que sûrement Marie dans son déplacement avait été aidée par Saint-Joseph et montée sur un âne, et pense à aussi que dans cette étable il y avait probablement un bœuf, effectivement ceci n’est pas écrit dans la Bible mais ça veut pas dire que c’est une réalité païenne plutôt que c’est de la poésie chrétienne ça n’a pas d’importance pour la foi mais ça donne de la douceur de la beauté ces chose-là devienne humaine.
Ce qui certifie que Jésus n’a pas pu naître à Bethléem n’ont absolument pas de preuves non-plus.
Mais avec des petites phrases des cheminement ce sont fait. Exemple
Luc 2:2
[2] Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinus était gouverneur de Syrie.
Si Luc insiste sur le premier recensement c’est qu’il y en a sûrement eu un deuxième
Noël on sait ce qui s’est passé on a dans les textes, est-ce que nous n’avons pas dans les textes ont été créés pour faire rêver et le principal nous donner un lien avec Dieu une proximité.
Crèche, sapin, bûche… les origines des belles traditions de Noël
Pourquoi allons-nous des guirlandes le soir de Noël ? Depuis quand installons nous un sapin chez soi en décembre ? Et pourquoi la bûche est devenue le dessert traditionnel de Noël ? Retour sur toutes ces traditions dont on ignore parfois les origines.
Sapins, bûches, guirlandes et crèches abondent chaque année au moment de Noël. Certaines de ces joyeuses traditions revêtent un sens spirituel. Greffées sur des fêtes païennes préexistantes ou inventées par la piété populaire, ces traditions permettent de rentrer dans le mystère de Noël.
Les lumières : En l’honneur de celui qui sauve des ténèbres
Le 25 décembre était jadis la fête païenne de la lumière en plein solstice d’hiver : la renaissance du soleil invaincu, Sol Invictus. Elle correspond à la date à partir de laquelle les jours commencent à s’allonger. C’est pour cela qu’elle fut choisie par les chrétiens pour célébrer la naissance du Christ : « Lumière du monde », « Soleil de justice ». C’est la raison pour laquelle bougies, guirlandes, loupiotes et lumignons sont plus particulièrement allumés le 24 au soir.
La crèche : D’abord vivante
Dès les premiers siècles, la grotte de la nativité est imitée, des répliques sont construites. Les scènes de la nativité, le plus souvent peintes ou sculptées, sont vénérées par la piété populaire. Les mystères joués dans les églises sur les thèmes de la Nativité et de l’Adoration des Mages ont sans doute influencé saint François d’Assise. C’est à lui que l’on attribue la première crèche vivante, une nuit de Noël 1223 dans le village de Greccio.
Pourquoi allumons-nous des guirlandes le soir de Noël ? Depuis quand installons-nous un sapin chez soi en décembre ? Et pourquoi la bûche est devenue le dessert traditionnel de Noël ? Retour sur toutes ces traditions dont on ignore parfois les origines.
Sapins, bûches, guirlandes et crèches abondent chaque année au moment de Noël. Certaines de ces joyeuses traditions revêtent un sens spirituel. Greffées sur des fêtes païennes préexistantes ou inventées par la piété populaire, ces traditions permettent de rentrer dans le mystère de Noël.
Lire aussi : Une crèche vivante en famille, ou comment impliquer les enfants dans la joie de Noël
Peu à peu les représentations vivantes sont remplacées par des scènes immobiles. Elles donnent lieu parfois à de véritables œuvres d’art. Les artistes italiens excellent au XVIIIe siècle avec des personnages grandeur nature et polychromes. Le goût pour les crèches se répand ensuite un peu partout en Europe. Chaque pays, chaque région déclinent ses représentations traditionnelles, plus ou moins riches ou naïves. Les personnages se multiplient, chaque paroisse, chaque foyer ont la leur. Depuis les premiers siècles, et particulièrement au moment de Noël, les chrétiens ont l’habitude de prier devant ces représentations du Mystère de l’Incarnation.
Le sapin : Une habitude récente
Un incontournable. Qui ne se souvient pas des sapins de son enfance ? Toujours vert, même au cœur de l’hiver, le sapin est symbole de vie alors que les autres arbres semblent morts. Les anciens l’ont depuis toujours utilisé, voir honoré. Au XIe siècle, pendant l’Avent, le sapin orne souvent les églises lorsque sont joués les mystères : scènes religieuses et populaires. Quand ces scènes ont pour thème la faute originelle, il est même décoré de pommes rouges et d’hosties (non consacrées). Les pommes symbolisent la faute d’Adam, les hosties le rachat par le Christ. Au XVe siècle, la représentation des mystères dégénère, ils sont alors interdits. Mais la tradition de l’arbre décoré est maintenue. Particulièrement en Alsace dans les corporations, puis dans les maisons.
Au XVe siècle encore, la coutume de l’arbre de Noël est courante en Allemagne. Peu à peu les décors de fruits se transforment et apparaissent fleurs, rubans et guirlandes. Les protestants contribuent au développement de l’arbre de Noël en refusant la représentation de l’Incarnation dans la crèche. Cet arbre n’est d’ailleurs pas nécessairement un sapin. Il est avant tout l’arbre de la connaissance du Bien et du Mal, l’arbre du Paradis perdu.
Au XVIIe siècle, l’habitude est prise de ranger au pied de l’arbre de Noël jouets et cadeaux. C’est au XIXe siècle que se généralise la tradition du sapin de Noël. En France, le premier sapin fut planté en 1837 aux Tuileries par la duchesse d’Orléans. Après la guerre de 1870, cette jolie coutume du sapin s’implante dans les villes et les campagnes françaises.
La bûche : Pas seulement un dessert !
Bien avant d’être le dessert de Noël, la bûche alimente traditionnellement le feu dans la cheminée. Des coutumes et croyances païennes devaient préexister et sont parfois restées attachées à ce geste. Certains récupéraient ses cendres aux propriétés soi-disant magiques, d’autres voyaient dans le crépitement des flammes un moyen de divination. Comme souvent ces coutumes païennes ont été peu à peu christianisées. En Alsace, la bûche est bénie par le plus jeune ou l’aïeul de la famille, avant d’être brûlée. Elle est choisie par le maître de maison, et décorée de rubans. On l’arrose de vin, d’huile ou de miel. Elle symbolise les péchés jetés au feu et brûlés par le Christ Lumière
L’Épiphanie célèbre la manifestation de Dieu aux rois mages
Temps ordinaire
Entrée en Carême entre février et mars
Symbole de la croix
Temps Pascal
Cette fête commémore le jour où, sur le Mont Thabor en Galilée, Jésus manifesta sa Gloire, au travers de l’éclat de sa divinité, à ses apôtres Pierre, Jean et Jacques :
“Pendant qu’il priait, l’aspect de son visage devint autre, et son vêtement devint d’une blancheur éblouissante. Voici que deux hommes s’entretenaient avec lui : c’étaient Moïse et Élie, apparus dans la gloire. Ils parlaient de son départ qui allait s’accomplir à Jérusalem. Pierre et ses compagnons étaient accablés de sommeil ; mais, restant éveillés, ils virent la gloire de Jésus, et les deux hommes à ses côtés.” (Luc 9, 29 – 32)
Temps ordinaire
Le jour où la Vierge Marie monte directement au ciel après sa vie terrestre.
Cette croyance, très ancienne, ne provient pas directement de la Bible mais prend racine dans les traditions des églises d’Orient et d’Occident. En effet, le Nouveau Testament ne parle pas de la fin de la mère de Dieu : c’est notamment à la tradition des pères de l’Eglise que nous la devons. L’évêque Cyrille d’Alexandrie, Patriarche d’Alexandrie, développe cette célébration dès le Vème siècle puis le pape Théodore 1er influence son développement en Occident deux siècle plus tard. En 1638, Louis XIII place la France sous la protection de Notre-Dame de l’Assomption et demande que soient organisée, chaque 15 août
La Fête du Sacré-Cœur de Jésus est une solennité de l’Église catholique romaine célébrée le 3ème vendredi après la Pentecôte.
Tout commence le jour où sainte Marguerite-Marie Alacoque (1647-1690) reçoit des révélations de la part du Christ.
Le Cœur Sacré de Jésus est symbole de l’amour divin.
La dévotion du Sacré-Cœur invite à fixer l’attention sur le cœur aimant de Jésus, compatissant et miséricordieux.
La Fête du Sacré-Cœur de Jésus est une solennité de l’Église catholique romaine célébrée le 3ème vendredi après la Pentecôte.
Tout commence le jour où sainte Marguerite-Marie Alacoque (1647-1690) reçoit des révélations de la part du Christ.
Le Cœur Sacré de Jésus est symbole de l’amour divin.
La dévotion du Sacré-Cœur invite à fixer l’attention sur le cœur aimant de Jésus, compatissant et miséricordieux.
Sagesse 3 : 1
[1] Les âmes des justes sont dans la main de Dieu. Et nul tourment ne les atteindra.
Sagesse 3 : 2-4
[2] Aux yeux des insensés ils ont paru mourir, leur départ a été tenu pour un malheur.
[3] et leur voyage loin de nous pour un anéantissement, mais eux sont en paix.
[4] S’ils ont, aux yeux des hommes, subi des châtiments, leur espérance était pleine d’immortalité.
Nous pouvons comprendre que les morts ne sont pas morts,
Un autre exemple :
Jean 3
[3] Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu.
[5] Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu.
Nous comprenons. La nouvelle naissance nous fait voir le royaume des cieux, mais nous fait pas y rentrer. Par le baptême nous rentrons dans le royaume des cieux. Nous avons eu un début, c’est notre naissance, la nouvelle naissance. Tout être humain est immortel par l’esprit qui est en nous. Nous sommes un timbernacle la vie divine est en nous, et dès notre conception nous avons reçu une âme qui nous lie à Dieu. Nous avons reçu la vie humaine par nos parents et la vie éternelle par Dieu. À notre mort, nous perdons la vie humaine, mais il y a séparation de l’âme à notre corps. Le corps est périssable, en revanche l’âme est immortelle. Dans ce verset, il y a confirmation.
Ecclésiaste (or Qohélet) 12 : 7
avant que la poussière retourne à la terre, comme elle y était, et que l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné. Et suite à notre mort du corps et à notre âme qui est avec Dieu, nous avons un jugement de ce que nous avons fait de juste ou de faux sur terre. Nous les catholiques, il y a le purgatoire et la vie sur terre c’est le premier purgatoire. Quand l’âme est vers Dieu, il est possible de continuer de se purifier ou d’aller en enfer et ceux qui ont une vie exemplaire en amour et de sainteté, ils vont directement au paradis.
Hébreux 9 : 27
Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement
Luc 23 : 43
[43] Jésus lui répondit : « Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis.
(Le bon Laron sur sa croix aux cotés de Jésus demande pardon)
Nous comprenons qu’il va directement au paradis, ce saint Laron est canonisé par Jésus, il voit Dieu un face à face avec les autres saints.
Apocalypse 6 : 9
[9] Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l’autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu’ils avaient rendu.
Ces âmes communiquent.
L’enfer, il n’y a pas de contact avec les âmes du purgatoire et encore moins avec les saints qui voient Dieu.
Quand nous prions les saints, c’est les âmes qui sont au paradis avec Dieu et les autres saints. Nous appelons ça la communion des saints et ils peuvent intercéder pour nous, Marie prie pour nous, Saint François prie pour moi, etc.
2 Rois 13 : 20-21
[20] Élisée mourut, et on l’enterra. L’année suivante, des troupes de Moabites pénétrèrent dans le pays.
[21] Et comme on enterrait un homme, voici, on aperçut une de ces troupes, et l’on jeta l’homme dans le sépulcre d’Élisée. L’homme alla toucher les os d’Élisée, et il reprit vie et se leva sur ses pieds.
Voilà pourquoi nous attachons de l’importance aux reliques, et beaucoup de preuves que les saints intercèdent pour nous.
Revenons au purgatoire.
Matthieu 12 : 31-32
[31] C’est pourquoi je vous dis : Tout péché et tout blasphème seront pardonnés aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera point pardonné.
[32] Quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné; mais quiconque parlera contre le Saint Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.
Nous comprenons qu’il leur sera pardonné dans ce monde : la Terre et le siècle à venir, il y a encore un cheminement, Jésus parle bien de pardon plus tard ! Les âmes du purgatoire, il parle du purgatoire.
Il dit : « D’autres ne seront pas pardonnés, ni sur cette terre ni dans les siècles à venir, c’est l’enfer.
Un autre exemple :
1 Corinthiens 3 : 15
[15] Si l’œuvre de quelqu’un est consumée, il perdra sa récompense ; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu.
Sauver c’est le paradis, le feu c’est le purgatoire.
2 Maccabées 12 : 40-45
[40]Or ils trouvèrent sous la tunique de chacun des morts des objets consacrés aux idoles de Iamnia et que la Loi interdit aux Juifs. Il fut donc évident pour tous que cela avait été la cause de leur mort.
[41] Tous donc, ayant béni la conduite du Seigneur, juge équitable qui rend manifestes les choses cachées,
[42] se mirent en prière pour demander que le péché commis fût entièrement pardonné, puis le valeureux Judas exhorta la troupe à se garder pure de tout péché, ayant sous les yeux ce qui était arrivé à cause de la faute de ceux qui étaient tombés.
[43] Puis, ayant fait une collecte d’environ 2 000 drachmes, il l’envoya à Jérusalem afin qu’on offrît un sacrifice pour le péché, agissant fort bien et noblement d’après le concept de la résurrection.
[44] Car, s’il n’avait pas espéré que les soldats tombés dussent ressusciter, il était superflu et sot de prier pour les morts,
[45] et s’il envisageait qu’une très belle récompense est réservée à ceux qui s’endorment dans la piété, c’était là une pensée sainte et pieuse. Voilà pourquoi il fit faire ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu’ils fussent délivrés de leur péché.
Les livres des Macchabées ont bien été inspirés par l’Esprit Saint et se trouvent dans la première Bible traduite par saint Jérôme, la Vulgate, en l’an 400. L’Église catholique a l’autorité sur la Bible.
Matthieu 16 : 18
[18] Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. La porte, c’est le péché. Elle, c’est l’Église !
Éphésiens 5 : 25-27
[25] Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-même pour elle,
[26] afin de la sanctifier par la parole, après qu’il l’a purifiée par le baptême d’eau.
[27] afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible.
Église a eu un discernement pour savoir le nombre de livres qu’il y a dans la Bible
En 998, saint Odilon souhaitait, au lendemain de la Toussaint où l’Église célèbre les saints du ciel, la vie éternelle, le bonheur d’être avec Dieu.
Cette journée des morts, de faire mémoire de nos défunts, pour nous remémorer le bien qu’il nous a fait ou pour que nous leur pardonnions le faire avec foi et espérance, ce lien qui nous lie à nos défunts. Ce lien d’amour ne connaît pas d’intermittence avec la mort, ce lien est renforcé par l’échange de biens spirituels.
C’est un jour de prière pour nos défunts et si ils sont au ciel ce lien ne fait que de grandir, si ils sont au purgatoire nos prières peuvent les aider dans ce temps de purification. Nos prières rendent efficace leur intercession pour nous.
Les éléments clés de la célébration du Jour des morts dans le catholicisme incluent :
Ces pratiques visent à offrir soutien et réconfort aux vivants tout en honorant la mémoire des défunts.
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